La réinterprétation de Béné :
«Ce beau printemps évaporé laisse place à notre liberté». Après cette longue période d’isolement, le premier confinement, j’avais envie de fêter le printemps en décorant à nouveau un mur de mon quartier. Ce qui m’a plu sur ce tableau c’est la coiffure de la jeune femme. Je me suis dit qu’elle a du avoir mal au crâne quand elle a défait son chignon… Les cheveux sont tellement tirés ! En même temps je l’ai trouvée hyper moderne et rock n’ roll coiffée comme ça. Alors j’ai décidé de m’occuper d’elle et d’en faire une allégorie sexy et tatouée du printemps.

Le Printemps